dimanche 25 juillet 2010

Eul François, j'le prefere à la Celine !


Bonjour à tous, bande de rhododendron !
Et oui, encore une fois, j'ai laissé ce blog crever dans son vomi. C'est moche. Et ça pu.

Cependant, alors qu'une de mes notes est en train de s'écrire et devrais arriver incessamment sous peu, j'ai décidé de vous pondre une note d'attente même si personne attends sur un sujet qui n'a jamais été traité. Enfin du moins pas à ma connaissance.

Aujourd'hui, en exclusivité, j'ai décidé d'écrire la retranscription d'un des sketches des "2 minutes du peuple" de le François Pérusse.

Si vous voulait savoir d'où mais venu cette idée, c'est tout simplement que à force des les écouter, je me suis rendu compte, en les faisant écouter à d'autre, que certaine blague n'étais pas compris, ou que celle-ci avait des blagues ou des allusions qui commence à dater, voir à n'être plus connu.

Pour bien comprendre, le texte sera en vert et en italique et mes annotations en noir.

Mais avant de présenter le texte, je tiens à présenter un site parfait. Si vous voulait lire des BD, ou écouter les 2 minutes du peuple, le site qu'il vous faut, c'est Triskal's World. C'est le meilleur site que je n’ai jamais vu sur le sujet, et je le recommande vraiment beaucoup. C'est de lui que je tire les sketchs que vous allez écouter.

Enfin plutôt LE sketch, vu que, étant une radasse du Népal, j'ai décidé de n'en faire qu'un aujourd'hui...

"2000 Licenciements locaux", Colombo du Peuple

*Jingle*
Narrateur : Voici un autre palpitant épisode de Colombo du Peuple.
1 : D'abord j'vais commencer par ce premier…
2 : Hahaha…



Alors ça commence déjà mal, on ne comprend en effet pas les premières répliques. "Ce premier" quoi ? Mine de rien, je me le demande... Et maintenant, vous aussi. :D

1 : Bon s'il vous plait (chut) comme vous le savez nous avons fait une étude de coût de production au Mexique et au Brésil. Le Mexique a été retenu (Ah bravo ; bien ça) mais ça impliquerait évidemment 2000 licenciements locaux. (Ouais évidemment) On n'aura pas l'accord du gouvernement tout de suite mais enfin il faudra (Ça peut s'arranger ; ouais) Il s'agit tout de même de 2000 mise à pieds.
3 : Bah on annonce qu'on va couper les postes et on verra après (Oh oui couper les postes ; On va couper les postes)
1 : Alors on coupe les postes ? Bon. (On va couper les postes, on va couper les postes *musique* Hahaha)


Alors là, 2ème problème, 1 n'as pas de nom, alors que c'est celui qui parle le plus... En fait, seul Jean-Paul a un nom. JP in da Plaaaaaace !!! Hum Hum...

Sinon, on retrouve l'une des marques de fabrique de Pérusse, les chansons qu'on-sait-pas-pourquoi.

Jean-Paul : IL N'EN EST PAS QUESTION !! (Hé euh ?)
4 : Qu… Qu'est-ce que tu dis Jean-Paul ?
2 : Enfin qu'est-ce qui te prend ?
JP : Mais on ne va quand même pas supprimer 2000 emploi, comme ça, pouf !
2: Je t'interdis de me traiter de pouffe !


Je me suis rendu compte que beaucoup de gens ne comprenait pas la réaction de la fille. Pour ceux là, remplacer le "pouf" par une autre insulte. Vous allez voir que vous le placerez au même endroit. Il est fort ce Pérusse !

JP : C'est pas très humanitaire !
1 : Mais enfin Jean-Paul je te reconnais plus, d'habitude t'es le premier à privilégier les profits et (JP : Nan mais là c'est pas la même chose, *incompréhensible* Vous faites…) et c'est toujours toi qui arrive qui dit qu'il faut sauver sur les coûts et c'est toujours toi qui viens (Attendez, Attendez, ATTENDEZ) nous gueuler pour dire qu'il faut sauver sur les coûts de production, espèce de trou…
3 : On pourrait peut-être couper la poire en deux ?
1 : Oh non tu peux la manger tout seul…
3 : Oh j'en veux pas non plus.
4 : Ah, bah merci ! *mastication* Pouvez continuer.
1 : Du cul ! (Chier !)


Une autre marque de fabrique, l'application mot à mot d'expression. Et ce n'est pas la seul de ce sketch, d'ailleurs.
Et aussi le dialogue qui repart de là où il avait été coupé. J'aimerais vraiment avoir la même chose dans mes conversations. T.T Noté par ailleurs le "Chier" après le "Du cul". Tout en finesse.

2 : On n'a qu'à passer au vote.
1 : Jean-Paul tu es minoritaire.
JP : Je te rappelle que selon la convention, si je mets un veto vous pouvez rien faire !
1 : Ce serait courageux de ta part de mettre le veto.
JP : Et bien que tu te sois levé tôt, j'en ai rien foutre (Euh…), moi je me couche tard !


Et enfin, le premier calembour ! Le veto => levé tôt.
Pérusse Powa !!!

1 : Bon regagnez tous vos bureau, je vous reparle demain (Tu parles d'un enfoiré ; tu peux le dire !) Jean-Paul !
JP : Quoi ?
1 : Assieds-toi.
JP : Non je vais pas m'assoir !
1 : Écoute mon vieux.
JP : Mais qu'est ce qui se passe dans cette société, pourtant on avait un bonne organisage ! (Une organisation. Enfin bon…) Et pis on le sens de l'administrage ! (De l'administration, oui…) Ouais bon enfin on n'avait pas peur du compétitage (De la compétition, Jean-Paul) Oh en puis j'en ai marre, j'm'en vais Rue Saint Denis m'faire faire une félatage !


Ouais, une blague de faysse !!! \o/ Notons que 1 ne réponds pas sur ce mot...

1 : Jean-Paul ! (Quoooi ?) La suppression de ces emploi c'est aussi des profits pour toi, 'spéce de nul ! (Ouais, ben…) C'est bien entré dans ta petite tête, ça ?! (Ouais…) Bon !
JP : Quoi qu'il manquait un peu de place pour le "spéce de nul !"


Je sais pas vous, mais moi, j'appelle ça la répartie qui tue.

1 : J'vais te dire quelque chose qui vas te jeter par terre. (Et quoi donc ?) Malgré la convention, je ne vais retenir ton veto. (*bruit de chute*) J't'avais dit. (Mais alors qu'est-ce que…) Et je vais te dire une autre chose qui va te faire chier. (Non, s'il te plait, c'est mon nouveau costume.) J'ai pas l'intention de te laisser sortir d'ici pour aller chialer sur notre compte à qui que ce soit. (Qu…Qu'est-ce tu veux dire ? *bruit de… hum… Pet foireux ?*) Ce que je veux dire ? (Pourquoi me pousse tu vers cette fenêtre de la salle de conférence situé au 25ème étage ?) Tu vas revoir chaque étape de ta vie du début jusqu'à maintenant. (Ah ?) Au revoir ! (*bris de verre* Oh, le joli poupon que j'étais !) Voilà !

Retour sur la blague des expressions. Et une blague Pipi Caca en prime.

Colombo : *Porte qui se claque* Excusez moi Monsieur ? (Oui ?) Je suis le lieutenant Colombo (Lieutenant ?) Je suis désolé de vous apprendre qu'on a trouvé un de vos associés qui gisait sur le trottoir.
1 : Euh… Gisait, du verbe Geindre ?
C : Euh, non de Gésir. (Ah.) Geindre c'est geignait. (Ah c'est vrai.) Comme le verbe Peindre on dit pas pisait !
1 : Oh, ça dépend des peintres ! (Comment ça ?) Comme Dali, on dirait vraiment qu'il pisait sur ces toiles !
C : Non ça c'est pisser monsieur !


Notons que Jean-Paul n'est pas le seul à avoir des problèmes avec les mots...

1 : Bon enfin, que me vaut l'honneur ?
C : Et bien y'avais du verre brisé autour du cadavre et je vois que y'a une fenêtre cassé ici.
1 : Mon dieu il se serait jeté par la fenêtre ?!
C : Il a été poussé monsieur !
1 : Comment ça ? Dis-je avec un air d'étonnement.


Le "Dis-je avec un air d'étonnement" ne seras pas le seul que François Pérusse utiliseras.

C : Vous savez quand on fait une chute d'une tel hauteur on revoit toute sa vie (Oui, oui, je sais.) Et y parait qu'avant de toucher le sol, il a dit : Mais pourquoi vous me pousser vers cette fenêtre.
1 : Oh, il a peut-être pas visionné la bonne vie.
C : Ahah, vous croyez qu'un type peut se tromper de vie ?
1 : Bah pourquoi pas ? (Ah bon.) C Jérôme c'est bien tromper de carrière !
C : Si vous voulait me suivre…


Mouahahaha !! Et là, l'énorme erreur ! Il aurait du dire "Pourquoi me pousses-TU vers cette fenêtre. C'est une grosse erreur qui prouve qu'il n'a pas visionné la bonne vie ! Mouahahahaha !!! *tousse tousse*

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Voilà qui conclu cette note. A plus, et évitez de vous faire manger par des Zorilles !